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TRANSPARENCY INTERNATIONAL-CAMEROON STATEMENT ON THE GLENCORE CASE

CORRUPTION IN THE RAW MATERIALS AND MINING SECTOR: GLENCORE PLEADS GUILTY

 The Swiss-based raw material trader and mining operator has admitted to being involved in a massive case of corruption and manipulation of oil prices concerning its activities in Africa and Latin America before courts in the United States and England and agrees to pay a $1.1 billion fine. In 2018, Glencore was assigned by the US Department of Justice as part of an investigation for corruption, relating to its oil activities in Nigeria, Venezuela and the Democratic Republic of Congo (DRC). Subsequently, other investigations were launched by the Serious Fraud Office (SFO). Ultimately, the investigations unveiled bribes paid to intermediary companies in order to obtain improper advantages and retain business with public and state-controlled entities in West African countries namely Nigeria, Cameroon, Côte d’Ivoire and Equatorial Guinea, for a total amount of $25 million.

« Glencore’s guilty pleas demonstrate the department’s commitment to holding accountable those who profit from the manipulation of our financial markets and corruption around the world, » said Deputy Attorney General Kenneth A. Polite, Jr. of the Criminal Division of the Department of Justice. “In the foreign bribery case, Glencore International AG and its subsidiaries bribed corrupt intermediaries and foreign officials in seven countries for more than a decade. In the raw material price manipulation scheme, Glencore Ltd. undermined public confidence by creating a false appearance of supply and demand to manipulate oil prices».

Pursuant to a plea agreement, Glencore accepted a criminal fine of over $428 million and forfeiture and reimbursement of over $272 million.

The case of Cameroon

 According to Glencore’s lawyer, the mining giant pleaded guilty for corruption charges, including bribes paying for around 7 billion CFA francs to induce officials of the National Hydrocarbons Company (SNH) and of the National Refining Company (SONARA) to promote Glencore’s operations in Cameroon. Facts that sufficiently demonstrate the irresponsibility and greed of certain senior Cameroonian officials, whose unbridled quest for easy gain and the display of an expensive lifestyle are to the detriment of the country’s development and the improvement of living conditions of the people. Despite Cameroon’s unfortunate ranking in the Corruption Perception Index for the past three years, the phenomenon of corruption tends to increase under the helpless gaze of the state institutions in charge of fighting against this plague.

 Transparency International-Cameroon (TI-C), a civil society organization championing in the fight against corruption, joins its voice to all the personalities who have denounced this criminal act, to request the establishment of a multi-commission of inquiry actors (State, civil society, parliamentarians, etc.) so that responsibilities are cleared. TI-C strongly calls on the entities set up by the state to fight against corruption, such as National Anti-corruption Commission (NACC), the National Financial Investigation Agency (ANIF) and the Audit Bench of the Supreme Court, so that they commit to establishing the truth in this case.

There is no need to recall that Cameroon is committed to the Extractive Industries Transparency Initiative (EITI), one of the requirements of which is the publication of contracts and licenses. This new case could have been avoided if this requirement had been respected. The Glencore affair is undoubtedly only the visible face of an iceberg which testifies to the opacity observed around mining Conventions. It is essential that good governance guides mining contracts so that the subsoil of Cameroon is preserved and that it benefits all Cameroonians and not a few individuals who use their position to enrich themselves illicitly.

 

                                                                                                                                                         The   President

 

                                                                                                                                                     Me Njoh Manga Bell Henri

 

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DECLARATION DE TRANSPARENCY INTERNATIONAL-CAMEROON SUR L’AFFAIRE GLENCORE

   CORRUPTION DANS LE SECTEUR DES MATIÈRES PREMIÈRES ET MINIER : GLENCORE PLAIDE COUPABLE

Le négociant des matières premières et exploitant minier basé en Suisse, a reconnu être impliqué dans une vaste affaire de corruption et manipulation des prix du pétrole concernant ses activités en Afrique et en Amérique latine devant les tribunaux aux Etats-Unis et en Angleterre et accepte de payer une amende de 1,1 milliards de dollars.  En 2018, Glencore avait été assigné par le département américain de la Justice dans le cadre d’une enquête pour corruption, liée à ses activités pétrolières au Nigeria, au Venezuela et en République démocratique du Congo (RDC). A la suite, d’autres enquêtes avaient été lancées par le Serious Fraud Office (SFO). Au terme, les enquêtes ont révélé des pots de vins versés à des sociétés intermédiaires afin d’obtenir des avantages indus pour  conserver des affaires avec des entités publiques et contrôlées par l’État dans les pays d’Afrique de l’Ouest du Nigeria, Cameroun, Côte d’Ivoire et Guinée équatoriale dont le montant total s’élève à 25 millions de dollars.

« Les plaidoyers de culpabilité de Glencore démontrent l’engagement du ministère à tenir responsables ceux qui profitent de la manipulation de nos marchés financiers et de la corruption dans le monde entier », a déclaré le procureur général adjoint Kenneth A. Polite, Jr. de la division criminelle du ministère de la Justice. « Dans l’affaire de corruption transnationale, Glencore International AG et ses filiales ont soudoyé des intermédiaires corrompus et des fonctionnaires étrangers dans sept pays pendant plus d’une décennie. Dans le stratagème de manipulation des prix des matières premières, Glencore Ltd. a sapé la confiance du public en créant une fausse apparence d’offre et de demande pour manipuler les prix du pétrole. » 

Conformément à un accord sur le plaidoyer, Glencore a accepté une amende pénale de plus de 428 millions de dollars et une confiscation et un remboursement de plus de 272 millions de dollars. 

Le cas du Cameroun,

 Selon l’avocat de Glencore, le géant minier a plaidé coupable d’accusations de corruption, y compris le paiement de pots-de-vin d’environ 7milliards de francs cfa pour inciter des responsables de la Société Nationale des Hydrocarbures (SNH) et de la Société Nationale de Raffinage (SONARA) à favoriser les opérations de Glencore au Cameroun. Des faits qui démontrent à suffisance l’irresponsabilité et la cupidité de certains hauts responsables camerounais, dont la quête effrénée du gain facile et l’exhibition d’un train de vie dispendieux se font au détriment du développement du pays et de l’amélioration des conditions de vie des populations. Malgré le classement malheureux du Cameroun dans l’Indice de Perception de la Corruption de ces trois dernières années, le phénomène de corruption tend plutôt à s’amplifier sous le regard impuissant des institutions étatiques en charge de lutter contre cette gangrène.

 Transparency International-Cameroon (TI-C) organisation de la société civile pionnière dans la lutte contre la corruption joint sa voix à toutes les personnalités qui ont  dénoncées cet acte criminel,  pour demander  la mise sur pied d’une commission d’enquête pluri-acteurs (Etat, société civile, parlementaires etc) afin que les responsabilités soient dégagées. TI-C interpelle avec force les entités mises en place par l’état pour lutter contre la corruption à l’instar de la CONAC, l’ANIF et la chambre des comptes afin qu’elles s’engagent pour établir la vérité dans cette affaire.

 Il n’est point besoin de rappeler que le Cameroun est engagé dans l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE) dont l’une des exigences est la publication des contrats et licences. Cette nouvelle affaire aurait pu être évitée si cette exigence avait été respectée. L’affaire Glencore n’est sans doute que la face visible d’un iceberg qui témoigne de l’opacité observée autour des conventions minières. Il est indispensable que la bonne gouvernance guide les contrats miniers afin que le sous-sol du Cameroun soit préservé et qu’il profite à l’ensemble des camerounais et non à quelques individus qui usent de leur position pour  s’enrichir de manière illicite.

                                                                                                                                               Le   Président

 

                                                                                                                                       Me Njoh Manga Bell Henri

 

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ATELIER DE RENFORCEMENT DES CAPACITES DES PARLEMENTAIRES DES OSC ET DES MEDIAS SUR L’ANALYSE DU SYSTÈME FISCAL INTERNATIONAL ET LE SUIVI DE L’ ÉQUITÉ FISCAL AU CAMEROUN.

Du 25 au 27 mai 2022, le consortium Transparency International-Cameroon, CRADEC, ADIN, DMJ et Afroleadership ont organisé dans la cité balnéaire un atelier de renforcement des capacités des parlementaires, OSC et des médias sur l’analyse du système fiscal international et le suivi de l’équité fiscal au Cameroun dans le cadre du projet « Renforcement de la gouvernance budgétaire pour la fourniture des services de base durable dans le respect de la préservation de l’environnement ».

Pendant trois jours il était question d’ouvrir aux parties prenantes une plateforme de renforcement des capacités et d’échanges sur des questions alignées sur le système fiscal national et international, la transparence financière et le suivi de l’équité fiscal pour le financement des objectifs de développement durable à travers la stratégie nationale de développement 2020-2030 au Cameroun.

De manière spécifique il s’agissait de:

  • Comprendre et discuter de la manière dont le gouvernement peut mobiliser les ressources domestiques dans le respect de l’équité fiscale au Cameroun
  • Placer les parlementaires les osc, les médias en première ligne dans la promotion de l’équité fiscale et la lutte contre le secret financier, la fraude et l’évasion fiscale internationale, pour le financement de la SND30 etc.

Les échanges et discussions fructueux ont débouché sur quelques résolutions notamment le lancement officiel du CAUCUS NATIONAL DES PARLEMENTAIRES. Un réseau qui doit mettre sur pied une stratégie pour contrer les flux illicites au Cameroun.

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LA PLACE DES FEMMES DANS LES INDUSTRIES EXTRACTIVES

Transparency international-Cameroon a pris part le 18 mai 2022 à un Atelier de présentation du groupe de travail de l’association des femmes du secteur minier au Cameroun, de renforcement des capacités des femmes sur la norme ITIE, du code minier et des Institutions de mise en œuvre de l’ITIE au Cameroun.

D’après OXFAM, les femmes font l’objet de discrimination à toutes les phases des projets extractifs. La persistance de l’inégalité entre les sexes au sein des industries extractives, la compromission des droits des femmes par rapport au potentiel de développement du secteur associées aux préjugés sexistes empêchent leur implication et leur accès aux avantages économiques que les industries extractives procurent. La discrimination se manifeste aussi dans les rapports que les entreprises et les gouvernements entretiennent avec les communautés. Les politiques, les pratiques indifférentes au genre dans les processus de consultations et de prise de décisions communautaires donnent lieu à l’exclusion systématique des femmes et à la non prise en compte des points de vue, des intentions, aspirations et des intérêts de celles-ci.

Les exposés et échanges fructueux ont permis aux femmes présentes de mieux aiguiser leurs connaissances et de s’intéresser aux questions genre dans le secteur minier.

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LE PRÉSIDENT DE TI-C REÇOIT EN AUDIENCE L’AMBASSADEUR DE BELGIQUE

Le Président de Transparency international-Cameroon Me Henri Njoh Manga Bell a reçu en audience dans son cabinet, l’#ambassadeur de #Belgique et son chef de mission adjointe Mme Myriam DULIEU accompagnés tous les deux par le Directeur Afrique Sub saharienne et son attaché venus tous deux du Ministère des affaires étrangères Belge.

Cette audience avait été sollicitée par l’ambassadeur de Belgique pour des échanges de sa délégation avec quelques représentants de la société civile camerounaise sur divers sujets faisant l’actualité.

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ACADEMIC INTEGRITY AND HONESTY FOR A DURABLE SOCIETY.

In the framework of the pilot phase of training on ethics and integrity, TI-C launched a poem and drawing competition titled, “Write a poem or sketch a drawing on ethics and integrity in the school or environmental milieu” to pupils of the PNEU school at Yaounde. On the 26th april 2022, TI-C awarded the participants to encourage their efforts on understanding the topic and their availability to learn and practice ethic and integrity  around them. 28 pupils submitted  their work and among them we chose the first five to whom we gifted communication tools alongside certificates.

Over the years TI-C has actively participated in creating awareness and to an extent succeeded in curbing corruption activities in our society through its Advocacy and legal Advice Center Institution (ALAC). This time around, with recent happenings in our schools which threaten the peace of teachers and the society at large, the TI-C staff decided to infiltrate schools and train on these topics. The objective of this training is to assess the level of understanding of these thematic, to try to divert mindsets of pupils from juvenile delinquency to adopting positive values throughout the national territory. The ultimate goal of this training is to establish participatory sessions with pupils where we can enable them vent out their worries while training them on adopting intensive ethical and integrity skills to better handle situations and easily reintegrate the society.

 

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LITIGES FONCIERS: TI-C S’ENGAGE AUX COTES DES COMMUNAUTÉS LOCALES ET PEUPLES AUTOCHTONES DES RÉGIONS DE L’EST, DE L’ADAMAOUA, DU SUD ET DU LITTORAL.

                                                 

Du 11 au 18 avril 2022, une équipe du projet Land and corruption in Africa a séjourné dans les régions de l’Est, l’Adamaoua, le Sud et le Littoral où les conflits agro-pastoraux ont fait leur nid, il en ressort au terme des échanges avec les acteurs locaux que l’occupation anarchique des terres donne lieu à des conflits qui peuvent parfois causer la mort. Ces conflits alimentés par les agriculteurs et les éleveurs ont pour origine plusieurs facteurs. 

A Lokoti (Meiganga), les champs de manioc sont dévastés par les bœufs, Les espaces réservés au pâturage sont malheureusement cultivés par les populations. Pour apaiser les tensions, un comité de gestion des conflits agro pastoraux a été mis en place. Un comité qui tant bien que mal apporte des solutions aux différents conflits observés. Il reste tout de même à relever le trafic d’influence entretenu par des personnalités locales qui est de nature à neutraliser les efforts de ce comité.

Dans les régions du littoral et du Sud (Kribi et ses environs) les conflits prennent des formes diverses en fonction des enjeux liés à l’exploitation des terres. L’équipe s’est rendu à Somakek, localité situé à une trentaine de km de la ville d’Edéa. Des discussions avec les communautés riveraines et le chef de village, il en ressort que le conflit qui oppose une société minière de la place et les populations, est due au fait que ces dernières n’ont jamais été consultées au préalable quant à l’installation de ladite société au cœur de leur foret…

La société forestière forte du soutien et des autorisations reçues des autorités administratives et des ministères sectoriels, a engagé les travaux de pré exploitation forestière, interdisant par ailleurs aux populations qui y vivent de continuer à exercer leurs activités de chasse, de pêche et agricoles. Tout ceci a conduit à un soulèvement de la part des riverains qui estiment avoir été lésés dans leurs droits de jouir de leur terre, laquelle est leur seule source de survie.

Pour la région du Sud, la descente sur le terrain dans la ville de Kribi et ses environs ont permis de relever des conflits fonciers de deux ordres.

Le premier cas est celui des conflits fonciers successoraux liés au genre. De ce fait nous avons pu constater la mise à l’écart des femmes (jeunes filles, femmes, veuves) lors du partage ou de la vente du patrimoine foncier familial. Le postulat selon lequel ‘la femme n’a pas droit à l’héritage foncier’ est une conséquence malheureuse de la cohabitation et très souvent de la prédominance des pratiques coutumières sur le droit positif dans cette région du pays.

Le second cas fait état des litiges fonciers nés de l’accaparement de grands espaces de terres (des milliers d’hectares parfois) par les agro industries ou par des particuliers dans le but d’investir à la construction d’une société. Ces acheteurs la plupart du temps passent par le biais d’individus appelés des ‘financiers’, lesquels ont une bonne connaissance de la région et qui de part leurs connexions avec les autorités administratives ou traditionnelles ont la possibilité de se faire établir des titres de propriété souvent en toute violation des droits fonciers des populations riveraines.

En conclusion, que l’on se retrouve dans l’Adamaoua, le Sud ou encore le littoral, l’on a pu faire le constat que la majeure partie des litiges fonciers observés prospèrent surtout cause de l’ignorance et du manque d’information dont font preuve les populations riveraines au sujet de leurs droits fonciers ; la mauvaise gouvernance et la corruption qui gangrènent les couloirs des administrations de la chaine de l’immatriculation au Cameroun, venant aggraver cet état de choses…

Pendant les 5 prochaines années ; le projet Land and corruption in Africa va s’atteler à apporter des solutions efficaces aux constats relevés plus haut.

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ATELIER DE RESTITUTION DU RAPPORT SUR L’EVALUATION DES CAPACITÉS POLITIQUES ET STRATÉGIQUES DU CONSORTIUM

Dans le cadre du projet «Renforcement de la gouvernance budgétaire pour La fourniture des services de base durable dans le respect de la préservation de l’environnement» subventionné par l’Union Européenne et piloté par le consortium  Transparency International-Cameroon, ADIN, Afroleadership, Cradec et DMJ depuis 2019, un atelier de restitution du rapport intérimaire sur l’évaluation des capacités politiques et stratégiques des codemandeurs du projet susmentionné a été organisé le 13 avril 2022.

L’objectif était de présenter au consortium le rapport de la mission confiée à un consultant externe qui consistait à déceler les points faibles et les points forts des codemandeurs dans le but de développer le plan de renforcement des capacités de gouvernance politique et de participation du consortium dans l’exécution du projet.  

Après quelques heures d’échanges entre responsables et collaborateurs, plusieurs propositions en plus de celles du consultant ont été faites, entre autres:

  • Renforcer chaque codemandeur individuellement

Le renforcement des capacités dont il est question n’est pas un renforcement des compétences techniques ou des formations. Il s’agit surtout d’améliorer les capacités organisationnelles et institutionnelles de chacune de ces organisations en prenant en compte les spécificités et les réalités de chaque organisation.

  • Travailler dans une approche processus et systémique

L’organisation est un système composé de différents sous-systèmes qui peuvent être les différents organes, les services ou programmes, les ressources humaines, les ressources financières….etc. Si on veut qu’une organisation soit performante, il faut travailler sur tous ces sous-systèmes. En plus de cela, il faut travailler dans une approche processus, c’est-à-dire en plusieurs étapes.

  • Améliorer le consortium
  • Le consortium doit disposer d’un manuel de procédures bien détaillé qui définit très clairement les modalités de gestion opérationnelle du projet cogéré.
  • Il doit définir les rôles et responsabilités entre les membres au plan administratif et en matière de gestion financière.
  • Les principaux responsables des codemandeurs doivent s’impliquer dans la mise en œuvre du projet, cela suppose définir leurs rôles et responsabilités sur le plan administratif et de la gestion financière.
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TI-CAMEROON SENSIBILISE LES POPULATIONS DE DSCHANG, BAFOUSSAM III ET BANGANGTE

                       

Dans le cadre du projet « l’Amélioration de la Participation et de la Prise en compte des Femmes ; des Jeunes et des Personnes Vulnérables dans l’élaboration et l’implémentation des plans d’investissements annuels des mairies de Banganté, Dschang et Bafoussam III au moyen d’une plateforme numérique, les ateliers, les campagnes de sensibilisation et le plaidoyer » Transparency International-Cameroon a piloté une campagne de sensibilisation des populations des communes ciblées par le projet du 20-25 février 2022. Il était question d’édifier les populations sur leur rôle ou leur implication dans le développement de leurs communes respectives.

Il s’agissait également de leur présenter et faire une démonstration de l’utilisation de l’application  qui contient les plans d’investissement annuels (PIA) desdites communes. Au-delà de prendre connaissance des PIA, l’application leur permettra également de dénoncer les pratiques répréhensibles identifiées dans la mise en œuvre des PIA et de renforcer leurs connaissances sur les thématiques telles que la gouvernance, démocratie, transparence, participation etc. Accédez  à l’application via ce lien htpps://localactionfordevelopment.org